L’ORANGE AMÈRE (1988)

Le Seuil et Points-Roman

Comment vivre la vie de ses rêves quand on a l’impression de semer la mort autour de soi ? Fille d’une garde-barrière qui s’est jetée sous un train, Jeanne est élevée par ses marraines, deux veuves qui se la disputent parce que chacune s’imagine que son défunt est le père naturel de la petite. Les tiraillements de Jeanne, sa générosité maladive et son besoin d’exister en secret feront d’elle la voix française d’une actrice américaine, dont elle partagera, dans l’ombre, le destin de star et le déclin…

Une impeccable leçon de style. Van Cauwelaert est un vrai écrivain et Didier un grand artiste.
Le Provençal
Jérôme Garcin
Un divertissement résolument saugrenu, caustique en diable.
Le Figaro Magazine
Arnould de Liedekerke
Depuis ses débuts, Cauwelaert était bien placé pour occuper la place laissée vacante par la disparition d’Aymé, de Queneau, de Nimier, et le silence de Blondin. Voici assuré le maintien d’une tradition bien française.
Le Monde
Bertrand Poirot-Delpech